Recherche de critères justes pour la perception de l’impôt

 

Alors que la loi de l’impôt sur le revenu agit très souvent de manière inhibitrice dans la vie sociale [çà ne «paye» plus à cause des «prélèvements»], le droit fiscal futur, doit écarter de tels obstacles et aider plutôt, la volonté de prestation de tout individu et le laisser se déployer avec ses ressources autant que possible. Il doit agir en stimulant l’initiative! Toute personne qui établit clairement qu’un simple encaissement d’argent [ou la possession de l’argent], n’est en fait, pas encore le revenu réel véritable , mais que, dans la sociabilité ordonnée par l’économie monétaire, ce revenu réel de l’homme ne peut l’être que lorsque l’individu dépense son argent, ou mieux: stimule ou plutôt engage de nouveau d’autres à prestation – pour lui ou pour d’autres – par sa dépense d’argent; celui là voit tout de suite la nécessité de cette transformation fiscale et sa signification sociologique. Pour agir de manière sensée la loi fiscale doit demander à l’individu: de quels services fais-tu ta part dans la socialité? Pas [comme dans la pensée fiscale d’aujourd’hui]: qu’as-tu reçu pour tes services des autres comme revenu d’argent en bon à valoir monétaire? Que des gens fassent quelque chose pour d’autres personnes, est très utile dans le contexte social, car rien d’autre n’est possible dans l’économie mondiale de division du travail [ce que nous appelons aujourd’hui par le mot «Globalisation»]. Ce devenir actif pour d’autres devrait être délibérément requis dans la communauté. Le système fiscal ne devrait plus demander dans l’avenir: qu’as tu gagné [nominal], mais: qu’as tu fais avec tes gains en réalité, qu’as tu mis en mouvement dans le contexte social, qu’as tu provoqué avec ton argent? Si le droit fiscal fait cela, cela n’inhibe pas le déploiement des prestations et ne lui met plus d’obstacles. 

D’une part, il appelle plutôt l’individu à la prestation, et d’autre part, l’associe à la formation d’un jugement sur l’utilisation de ce qui a été développé conjointement: au partage. Basé sur la réalité, il parle avec les gens. Chaque utilisation de son propre revenu en argent – pour les contre-prestations demandées pour soi, comme pour des dons à d’autres, – demande de ce fait des actions à d’autres et donne des directions différentes à chacune. En conséquence, cette séquence réelle peut être faite consciemment. Mais l’individu, dans sa demande de prestation – par l’achat de biens et de services de toute sorte – va voir que pour que cela lui soit possible dans la durée, il doit contribuer au fonctionnement de cette division du travail, de l’être actif pour les autres que nous nommons Économie, et apporter à son tour pour ce fonctionnement sa contribution de financement, sinon cela ne pourrait aller dans la durée quand au financement de l’infrastructure des systèmes sociaux.

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