Abus et bévues

  

Les recettes fiscales dans le domaine des impôts sur le revenu ontclairement décruent ces dernières années; destaxesde remplacement mal déguisées elles nous sont souvent présentées pour une meilleure acceptation politique comme«taxes écologiques» – sont entre autre recherchées par l’État pour les équilibrer [« contre-financement »] – sinon plane un endettement supplémentaire!. On voudrait sauver ainsi une part de l’ancien, au moins en apparence, en saisissant mieux pour imposition les revenus de toutes sortes de systèmes monétaires et financiers difficilement saisissables dans la circulation monétaire et les capitaux internationaux. Ceci doit par exemple advenir par une retenue générale d’impôt à la source ou des obligations de déclaration de ces revenus à l’étranger entre les autorités fiscales des États. C’est une tâche de.Sisyphe! Ce qu’on doit réellement faire reste cependant à faire. A peine se demande-t-on eneffet, si l’apparition des « lacunes » déplorées n’indique pas plusuneerreur de systèmequeces problèmes montrent toujours à nouveau lorsqu’on ne prend pas -«radicalement»- le problème à la racine.

Mais s’ajoutent encore d’autres maux! A partir de points de vue sociaux par exemple, des décisions de la justice constitutionnelle critiquent de plus en plustoute une série d’accès fiscaux aux revenus dans le domaine de l’imposition des familles ou à la suite du «principe de partage à moitié »2-comme étant excessifs et donc irrecevables. Mais la politique suit de telles plaintes avec réticence,et généralement avec plusieurs années de retard; pour commencer, tout est«déplacé». A cause de cela les gens s’identifient toujoursmoinsavec lesystème fiscal tel qu’il est,et vivent alors le fisc comme un adversaire. En conséquence, ils ne se représentent pas clairement qu’ils doivent se comprendre essentiellementcomme mandataires des finances publiques, carils ont admis ou voulu cestâches publiques et ontpu les décider ou «contrecarrer» par des voies démocratiques. Les affaires publiques ne peuvent qu’être prises au sérieux socialement quand elles seront financées par les citoyens via les impôts appropriés. Le présentsystème fiscaldevientobsolèteen raison de sonmanque de transparence, et n’est plus regardé et vécucommeun système d’auto-connaissance de la société par elle même, bien qu’il le soit néanmoins, mais plus reconnu comme tel et estdonc contourné dans la pratique, là ou c’est possible, [la fraude fiscale est largement considéré comme une «infraction mineure»].

suite…

 

2 Ce principe stipule que les charges fiscales publiques ne peuvent pas visé plus de la moitié du revenu gagné [ne pas confondre – mais apparenté – avec la nouvelle « imposition des revenus à moitié »]; devenu de nouveau exigible par des arrêts récents. (ndt : à éclaircir !)

 

 

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