L’effet d’un changement de système: les gains de bien-être

  

Plus on reconverti l’imposition dans le sens décrit de l’enregistrement des revenus nominaux [«entrée d’argent»] aux prestations réelles, la consommation donc, plus l’activité se développera socialement, moins les pertes de bien-être [par inhibition d’initiative] seront à déplorer. Les pertes de bien-être social, au contraire, vont se transformer en gains de bien être car plus d’initiatives verrons le jour et plus sera fait. Cela signifie: les réserves de participation existant en chaque personne vivantes seront ranimées et reçues – – et par là utilisées. Aussi paradoxal que cela puisse paraître: plus nous apprenons à ne pas voir dans la simple acquisition d’argent, un réel aboutissement, plus le déploiement « freiné » de notre volonté à servir la prospérité de notre développement social se multipliera. Nous devons un jour ou l’autre apprendre, que nous déployons nos forces dans la création de valeur exigeant des prestations et devons partager entre nous le résultat de ce déploiement de forces – la création sociale de valeur elle même -, nous ne devrions pas penser: Si je veux vivre un peu, je dois retirer quelque chose à un autre [finalement le geste de sens « voleur » de nombre de nouvelles affaires financières (ndt: dans le sens d’établissements financiers?), mais je dois vraiment travailler avec d’autres pour trouver ensemble parce que le revenu s’est créé ainsi, comment je peux en avoir « part » par partage. Si nous apportons tous ensemble plus, le «gâteau» économique devient plus grand et nous pouvons nous aussi en « répartir» plus!

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