Le droit fiscal d’utilité publique comme préfiguration de facto de l’idée d’impôt sur la consommation

De nos jours vous pouvez trouver le principe d’exonération fiscale des prestations nommé ci-dessus – en grande partie incompris, mais en fait déjà pratiqué en « droits négatif » -, dans le « droit enclavé » fiscal de la notion « d’utilité publique ». Car là où quelqu’un désintéressé et de lui-même – fait quelque chose pour surmonter le fardeau de la communauté, il a déjà le droit à une exonération partielle de la demande fiscale [de l’impôt sur le revenu principalement] . Ainsi se laisse comprendre, de toute façon, le geste social de notre droit de l’utilité publique – à la fois national et international. Il signifie clairement par réduction de la fiscalité où les points critiques de la législation fiscale existante peuvent être trouvé à ce sujet, puisqu’il démantèle la fiscalité pour les initiatives d’utilité publique (8). On pourrait dire aussi: la loi fiscale sur l’utilité publique est juste une sorte d’anticipation partielle de l’idée d’impôt à la consommation avec toutes sortes de restrictions des conséquences pour ceux qui sont ainsi actifs par définition d’enclaves «valorisées» [ici sont donc les «pièges» de ces règlementations!] . On peut le comprendre- sans interférer avec ce qui vient d’être dit, comme un privilège de « second rang » – « du clergé » – arrivant du Moyen Age dans le présent, porté finalement par la même idée fondamentale [l’exonération partielle d’impôt] ou pris en charge par lui au moins à l’origine. Si l’on ajustait les critères de la législation fiscale, non pas seulement dans cette partie de la communauté, mais au fond, de manière à susciter le déploiement de la volonté à prestation de chaque personne, c’est-à-dire de stimuler l’attention de l’individu pour les autres [dans le faire pour eux] , il peut aussi être dit que ce droit fiscal, a en vue en même temps la «guérison d’un ensemble d’hommes travaillant ensemble » ou qu’il cherche un principe social « de l’autre côté du seuil », c’est à dire du devenir et de la croissance spirituelle, de la nature du monde.9 De cette perspective, nous devons évidemment apprendre à penser et manier les choses de manière nouvelle.

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8 Voir de l’auteur: « Les incitations fiscales à des fins de bienfaisance, une loi fiscale négative? » Dans: Betriebsberater, cahier 35/36, 20./34). Décembre 1986, page 2341 et suiv

9 Voir Rudolf Steiner: «Science spirituelle et question sociale », GA 34

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