Comprendre l’imposition comme processus de partage

 

Avec ce qui a précédé, nous nous sommes assimilés deux idées de base. Premièrement: taxer signifie toujours restreindre les dépenses de consommation privées en faveur du secteur public. Deuxièmement, [- la même chose tourné positivement]: taxer signifie toujours: partager la valeur générée par la société entre les citoyens et leur propre fonction publique menée «par l’administration d’État», financée par l’impôt. Chaque impôt partage donc – du point de vue de son effet – la valeur sociale avec l’administration publique ou laisse le pouvoir civil des citoyens en disposer. Il devrait donc être compris à l’avenir comme le processus de partage qu’il est. Ensuite, les citoyens pourront participer plus consciemment au processus de division et accomplir ce à quoi ils ont eux-mêmes participés – la détermination de l’étendue des tâches publiques – dont ils seront prêt à porter la charge. Seulementainsi devient clair qu’avec le soutien de la perception de l’impôt nous accomplissons les missions que nous nous sommes donné ensemble. Nous laissons par conséquent, pour le dire ainsi fondamentalement, la mise en œuvre de notre volonté sociale façonnée en commun, à l’esprit de notre tout social réel, le comprenant maintenant aussi. L’ancienne imposition ne rendait cela pas assez clair pour ceux qui y sont impliqués, le leur cachait même, et sur le plan de la conscience conduisait à ce que l’individu se sente de plus en plus isolé et, en conséquence l’amenaient à s’échapper de cette charge fiscale étrangère, au détriment de ses concitoyens. Le citoyen ne se sent’ il pas – plus – membre de la danse? Cette volonté de l’individu toujours plus isolé de la vie de l’ensemble social est appréhendée comme «contrôle de masse» égocentrique par les instances pensantes fiscales et parlementaires et «utilisé» en conséquence comme moyen de direction. Ainsi apparaissent – comme tutelle de prétendus «avantages fiscaux», par exemple – des « niches fiscales » de toutes sortes créés par le législateur lui-même. Elles doivent – en leur sens, servir à orienter les activités de l’individu dans une direction souhaité par l’État.7 L’égoïsme – promu – de l’individu le rend orientable par l’État dans ses intentions.

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7 amortissement spécial sur les objectifs gouvernementaux pouvant devenir du développement [‘souhaité’] par exemple, elles agissent généralement dans la pratique surtout comme des lignes de défaut en capital en économie politique, par exemple « ruines d’amortissement » (ndt : trad. approximative)

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